Les membres des Études Sorguaises ont appris, avec une profonde tristesse, le décès de leur ami Paul Establet.
Au sein de l’association, il était très apprécié pour sa modestie, sa disponibilité à l’activité du groupe. Il ne parlait que rarement de son état de santé, de ses souffrances physiques, et jamais sur un ton larmoyant.
Chez nous, il pratiquait la photographie avec talent. Ce sont ses clichés qui ont illustré nos publications.
De Paul, nous conserverons le souvenir de sa gentillesse, sa simplicité, son intérêt pour le passé sorguais, et surtout son courage physique.
À son épouse Christiane et à l’ensemble de ses proches nous adressons nos sincères condoléances.
L'affaire, qui est présentée ici, est inspirée de documents conservés dans les dossiers de procédure judiciaire et il nous plaît d'imaginer qu'elle pourrait donner lieu à l'écriture d'un roman policier.
Lire la suite...Paul Pons est arrivé à la fin de ses mémoires. Il a raconté toute sa vie depuis sa plus tendre enfance jusqu'à sa période de gloire, période qui, nous voulons bien le croire, n'est pas encore terminée pour lui.
Je cédai cependant à une grande passion : la chasse.
Si tous les gens à qui Lucenski offrait son coupé avaient voulu bénéficier de cette amabilité, il eût fallu que les journées eussent quarante-huit heures pour que chacun pût y rouler un maximum de dix minutes.
Incohérent, prime-sautier, abracadabrant, que l'on pense de lui tout ce que l'on voudra, il n'en restera pas moins vrai que feu de Lucenski et son journal nous rendirent un rude service.
Lire la suite...J'écris avec bonheur l'introduction du trente et unième numéro des Études Sorguaises, car nous accueillons trois nouveaux historiens et un fidèle de nos colonnes.
Ensemble, ils participent à l'élaboration de notre publication.
• Isabelle ROCHE•ZANCHET71, pour un texte très documenté "En 1917, un crime crapuleux entre la Poudrerie Nationale et le château de Fontgaillarde"
• Pierre EYNAUD, évoque ses souvenirs au temps où il travaillait à l'usine « la Gauloise »,
• Jean-Louis REYNET remémore son père, cadre également à « la Gauloise »,
• Et Guy RICHARD nous rappelle l'activité de l'orchestre « Le Marching Band » des élèves de l'école municipale de musique.
Nous n'oublions pas les anciens :
• Claudine MARTINEZ évoque l'histoire du domaine de «La Bretèche », chemin de Brantes, de 1836 à nos jours
• Marceau APAP, pour le temps où il la dirigeait, achève la chronique de la chorale "Amista". Nous souhaitons tous que sa plume ne se tarisse pas avec la fin des annales de l'ensemble vocal.
Nous n'oublions pas madame Manzon, élément essentiel de l'association, qui veille avec rigueur à l'orthographe exacte de nos écrits et de notre syntaxe.
Nous soulignons la participation de Pierre Eynaud, âgé de nonante-deux ans, qui avait signé des articles dans le passé, et qui renoue avec notre brochure. C'est grâce à nos amis conservateurs de notre mémoire collective que nos publications perdurent. Nous les remercions chaleureusement.
Raymond CHABERT
Dès octobre 1987, à mon initiative, s’était constitué un comité pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française(1).
Le nom provençal de Sorgues est Sòrgas (prononcé Sòrgo). Ce nom vient de la rivière Sorgue qui rejoint l'Ouvèze à peu de distance. En provençal, sorga, du latin surgere, « surgir, apparaître », désigne une source importante ou une résurgence donnant naissance à une rivière.
Les archives départementales de Vaucluse ont le plaisir de vous faire part de la publication en ligne d’un instrument de recherche illustré vraiment original, probablement un des premiers du genre : les statuts communaux.
La devise latine de la ville de Sorgues est "Semper valentior surgo (Toujours plus forte je jaillis)."
Toutes nos manifestations sont gratuites et ouvertes à tous. Nos rendez-vous ont lieu le plus souvent les vendredi soir à 19h. Ils se déroulent, sauf pour le Polar, à la salle Versepuy de l’Espace du Moulin (à l’arrière de l’Espace du Moulin (petit immeuble des années 70), situé face à la parfumerie Mireille et la pâtisserie le Petit Prince. Il y a deux parkings de chaque côté de l’avenue d’Orange entre Cats pizza et les sanitaires Belluci. GPS : 44° N ; 4°52 E)