Comme le plus grand nombre de granges, celle qui figure sur la photo 1, située dans l’île d’Oiselet, était orientée de l’est à l’ouest, pour tourner le dos au mistral.
Lire la suite...Au dix-neuvième siècle, les notables étaient des personnes considérables par leur fonction, leur position, leur éducation, leur fortune ou la considération dont elles jouissaient. À Sorgues, on les retrouvait parmi les médecins, les notaires, le curé et les usiniers.
Lire la suite...UN ÉVÉNEMENT VIEUX DE CINQUANTE et UN ANS
Le 8 mai 1969, dans la nuit à 1 h 45, sur la route nationale 7 à la hauteur du pont de l’Ouvèze, un camion-citerne contenant 35 000 litres d’acrylate d’éthyle percuta de plein fouet la maison de madame Laugier.
Sous le choc, le mur maître s’écoula sur la remorque, il entraîna le plancher du premier et une partie de la toiture, fort heureusement, à ce moment-là, personne ne l’occupait
Le conducteur seul venait de Saint-Avold en Moselle et se dirigeait en Italie où il livrait ce produit très inflammable et très réactif.
Presque aussitôt, les secours arrivèrent, ils dégagèrent le chauffeur légèrement contusionné, et ils avertirent cinquante familles de quitter leur domicile.
Monsieur Bergogne, agent municipal et pompier bénévole, avait œuvré toute la journée dans l’immeuble, il devait y habiter le lendemain.
Vers midi, la nationale 7 fut rendue à la circulation. Depuis cet événement, l’emplacement est occupé par un jardinet.
À l’époque des faits, le Code du travail dans les transports routiers était caractérisé comme dérogatoire.
Le salarié était recruté selon des règles coutumières. En fait, tout était fondé sur sa capacité à supporter la durée de service, les heures supplémentaires, le temps de repos, les interruptions de l'activité, etc...
À présent, les chauffeurs routiers et l’ensemble des travailleurs ont des soucis à se faire. Au nom de la lutte contre le coronavirus, le gouvernement décide sur ordonnances des choix qui nous ramènent plusieurs années en arrière, du temps des règles coutumières, avec la bénédiction du patronat.
Les deux photos couleur sont de Paul Establet.
Présents : Alain PASSA, Danièle TONON, Raymond CHABERT et Jean SPINARDI. Ordre du jour : prévisions de conférences à venir. Pour Mars : Jean-Marie TRIAT "LES PIERRES DE PROVENCE". (Conférence que nous avions du annuler pour un problème de vidéo-projecteur, et que nous avons résolu depuis.)
Lire la suite...Dès octobre 1987, à mon initiative, s’était constitué un comité pour célébrer le bicentenaire de la Révolution française(1).
Le nom provençal de Sorgues est Sòrgas (prononcé Sòrgo). Ce nom vient de la rivière Sorgue qui rejoint l'Ouvèze à peu de distance. En provençal, sorga, du latin surgere, « surgir, apparaître », désigne une source importante ou une résurgence donnant naissance à une rivière.
Les archives départementales de Vaucluse ont le plaisir de vous faire part de la publication en ligne d’un instrument de recherche illustré vraiment original, probablement un des premiers du genre : les statuts communaux.
La devise latine de la ville de Sorgues est "Semper valentior surgo (Toujours plus forte je jaillis)."
Toutes nos manifestations sont gratuites et ouvertes à tous. Nos rendez-vous ont lieu le plus souvent les vendredi soir à 19h. Ils se déroulent, sauf pour le Polar, à la salle Versepuy de l’Espace du Moulin (à l’arrière de l’Espace du Moulin (petit immeuble des années 70), situé face à la parfumerie Mireille et la pâtisserie le Petit Prince. Il y a deux parkings de chaque côté de l’avenue d’Orange entre Cats pizza et les sanitaires Belluci. GPS : 44° N ; 4°52 E)