Un petit métier disparu : la marchande ambulante de glaces, Louise Fanjon
- Détails
- Affichages : 1430
Louise Fanjon naquit à Marseille en 1914. En 1931, elle épousa Paul René, qui, lui-même, vint au jour en 1912. Le couple donna naissance à deux enfants : Yvan en 1941 et Josette en 1945. Du mariage jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, le ménage tint un premier restaurant à Saint-Didier. Après la guerre, on les retrouva à Sorgues au « Restaurant de la Poste ».
Ets Louis Bouscarle, Jean Bouscarle & compagnie à Sorgues de 1913 à 1968
- Détails
- Affichages : 1860
Ayant acquis l'usine de moulinage ainsi que le couvent orphelinat qui fournit le personnel féminin, M. Louis BOUSCARLE entreprend la modernisation et l'agrandissement de cette entreprise.
Sorgues, ville de passage
- Détails
- Affichages : 1619
Dernière ville avant l'entrée dans Avignon, cité touristique de grande renommée, Sorgues est un lieu de passage se situant sur un axe fréquenté. La route impériale ou route nationale 7 sillonne la commune, le train y fait halte en 1854.
La petite ville possède un riche passé historique souvent ignoré par les voyageurs, ses témoins architecturaux ayant disparu. En effet, la cité est à l'époque médiévale une résidence d'été des Papes qui séjournent à Avignon. Elle détient alors un magnifique château pontifical (1).
Les établissements Rivolier
- Détails
- Affichages : 1720
La création
Avant la Première Guerre Mondiale, Henri Rivolier était le représentant d'une grosse maison de Charlieu (Loire) spécialisée dans la construction de voitures d'enfants et de jouets : les Etablissements Devillaine. Il approvisionnait la région du Sud-est de la France où il avait su, grâce à ses qualités professionnelles, arrondir sa clientèle. Aussi il lui vint naturellement l'idée de se substituer à l'industrie charlieudine en créant sa propre entreprise.
Les dernières années de quelques usines familiales
- Détails
- Affichages : 1627
USINE DITE DE LA GRANGE DES ROUES
Le nom de cette usine rappelle certainement pas mal de souvenirs à certains vieux Sorguais, d'aucuns pour y avoir travaillé, d'autres pour être allés se baigner dans l'Ouvèze en aval du barrage construit bien avant 1914, et enfin pour certains pour y être allés taquiner le goujon sous les frais ombrages. Tout d'abord, vous êtes-vous posé la question : « Pourquoi le patronyme de « Grange des Roues » ?
J'ai toujours lieu de penser que l'usine, lors de son installation, avait été équipée de plusieurs grandes roues hydrauliques animées au fil de l'eau et pourvues, pour pouvoir étudier et utiliser l'énergie, de multiples renvois d'engrenages, de poulies, de transmissions, de courroies, de paliers dormants dans des niches etc...