J'écris avec bonheur l'introduction du trente et unième numéro des Études Sorguaises, car nous accueillons trois nouveaux historiens et un fidèle de nos colonnes.
Ensemble, ils participent à l'élaboration de notre publication.
• Isabelle ROCHE•ZANCHET71, pour un texte très documenté "En 1917, un crime crapuleux entre la Poudrerie Nationale et le château de Fontgaillarde"
• Pierre EYNAUD, évoque ses souvenirs au temps où il travaillait à l'usine « la Gauloise »,
• Jean-Louis REYNET remémore son père, cadre également à « la Gauloise »,
• Et Guy RICHARD nous rappelle l'activité de l'orchestre « Le Marching Band » des élèves de l'école municipale de musique.
Nous n'oublions pas les anciens :
• Claudine MARTINEZ évoque l'histoire du domaine de «La Bretèche », chemin de Brantes, de 1836 à nos jours
• Marceau APAP, pour le temps où il la dirigeait, achève la chronique de la chorale "Amista". Nous souhaitons tous que sa plume ne se tarisse pas avec la fin des annales de l'ensemble vocal.
Nous n'oublions pas madame Manzon, élément essentiel de l'association, qui veille avec rigueur à l'orthographe exacte de nos écrits et de notre syntaxe.
Nous soulignons la participation de Pierre Eynaud, âgé de nonante-deux ans, qui avait signé des articles dans le passé, et qui renoue avec notre brochure. C'est grâce à nos amis conservateurs de notre mémoire collective que nos publications perdurent. Nous les remercions chaleureusement.
Raymond CHABERT