Tous deux juifs du pape
Avant de connaître Jacob et Léa Cavaillon, il est utile de rappeler qui étaient les « Juifs du Pape ».
La présence juive en Gaule méridionale remonte à 70 ans après J.C., donc postérieurement à l’exil qui suivit la destruction du Temple de Jérusalem par l’empereur romain Titus.
Blaise aimait certaine donzelle, (1)
Il l'épousa. Dès la première nuit,
En la caressant, il lui dit
« J'ai peur que nos plaisirs dans quelque temps, ma belle,
Ne te causent bien du tourment.»
« Ne crains rien, lui répondit la naïve femelle ;
Blaise, j'accouche heureusement » (2).
En 1789, seul un petit nombre de sages-femmes était instruit. La majorité des accouchements était toujours effectuée par les matrones parfois dangereuses, malgré leur savoir traditionnel transmis de génération en génération et basé sur une large expérience pratique personnelle.
Préambule
Le deuxième « livre de bord » de la chorale AMISTA couvre 6 saisons (de 1981 à 1987). La collecte des documents a été réalisée par un groupe de volontaires : Brigitte APAP, Patricia PROSCUITI, André HARATYK, Christiane SAULNIER, Marceau APAP, Antoine BERGESE et Anne-Marie DO VAN LUONG. Des 392 pages de ce volume sont extraits les événements les plus marquants.
Samedi 25 novembre 20H30 au PÔLE CULTUREL CAMILLE CLAUDEL
Carte blanche à Robert Santiago, le plus sud-américain des joueurs d’accordéon diatonique français, pour une soirée placée sous le signe des musiques latines !
Riche en influences, la musique de Robert Santiago nous promène de la Cordillère des Andes à la République Dominicaine, du Brésil au Venezuela en passant par le Mexique et le Paraguay. Le lien entre tous ces styles musicaux (cumbia, mérengué, foro, san juan...), c’est l’accordéon de Robert : accordéoniste atypique et inventif, il donne à ses concerts une ambiance unique, personnelle, chaleureuse, festive et colorée.
LA CRÉATION DE LA MAISON DES JEUNES & DE LA CULTURE
par Yvette RICCA
Le 25 février 1961, sous la présidence de monsieur le Docteur Gavaudan, maire, la commune devenait propriétaire des biens « Rassis », route de Vedène, à la fin d'une vente aux enchères publiques. Elle avait eu lieu le 22 février 1961, à huit heures trente, à l'audience des criées du tribunal de grande instance d'Avignon.
Le 10 mai 1962, la création d'un centre aéré conviendrait parfaitement dans la propriété « Rassis ». Le conseil municipal, après en avoir délibéré, admet le principe de la création d'un « centre de loisirs sans hébergement » qui serait implanté dans le parc « Rassis ».
Vue du château « Rassis », côté route de Vedène.